A gauche, la vision est inverse. «Poser une date d’arrêt pour chaque centrale suisse, c’est accélérer la transition énergétique, c’est agender la relève renouvelable et dégager de l’argent pour la financer, assure la Verte genevoise, Delphine Klopfenstein Broggini, conseillère nationale et membre de la CEATE. Le réservoir d’économies d’énergie est énorme ainsi que notre potentiel solaire. Les centrales nucléaires sont un gouffre financier, de l’argent qui serait largement mieux investi dans le solaire ou l’éolien.»