Collages sur les autoroutes, déprédations sur les golfs: les activistes climatiques irritent la population. En année électorale, cela pourrait coûter cher à votre formation politique, non?
Il y a une urgence climatique, indépendamment du calendrier électoral. C’est de cela dont on doit parler. La gestion de cette crise doit être primordiale, elle est pourtant détournée toujours plus au profit d’autres sujets plus «court-termistes». La mobilisation est primordiale, tant au niveau de la société civile qu’au niveau politique. Avant d’être élue, je me suis toujours engagée, dans des associations ou dans les manifestations. J’espère, d’ailleurs, que les manifestations vont reprendre, car elles permettent d’attirer l’attention publique. Notre moyen d’action est au travers des institutions et nous savons que c’est extrêmement efficace pour changer les règles du jeu. C’est pour cela qu’il faut aller voter, à commencer par le 18 juin pour la loi sur la protection du climat.

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