1. Que fait-il pour préparer ce changement structurel dans l’agriculture ?
  2. La recommandation d’Agroscope d’orienter davantage les contributions à la sécurité de l’approvisionnement vers la préservation durable des ressources est-elle suivie ? Si oui, au moyen de quels indicateurs ?
  3. Comment les incitations à la production intensive sur les sols organiques sont-elles évitées (Stratégie Sol Suisse OsA12), respectivement définies de manière à ce que les cultures humides ou l’utilisation pour la compensation du CO2 (comme proposé dans le PNR68, ST2 p.65) soient financièrement intéressantes ?
  4.  Est-il envisagé de supprimer les contributions à la sécurité de l’approvisionnement pour la production sur des sols organiques si celle-ci ne peut pas garantir l’approvisionnement de la population à moyen terme ? Si non, pourquoi ? Si oui, jusqu’à quand ?
  5. Est-il envisagé de lier les contributions aux améliorations structurelles, accordées pour améliorer l’exploitation des sols organiques, à des conditions de maintien de la matière organique des sols ? Si non, pourquoi ? Si oui, jusqu’à quand ?
  6. Il ressort du rapport agricole 2020 que des contributions aux améliorations structurelles ont été allouées pour des mesures concernant le sol et l’eau à hauteur de 3,708 millions. Le Conseil fédéral sait-il quelle part de cette somme est affectée à des mesures en faveur de la réhumidifcation des sols organiques ? Si non, pourquoi ? Si oui, combien ?