1. Que fait le Conseil fédéral pour mettre à disposition ces surfaces arables pour cette production qui ne peut plus avoir lieu sur les sols organiques ?
  2. Est-il envisagé de verser à l’avenir des contributions réduites à la sécurité de l’approvisionnement pour les surfaces sur lesquelles des aliments pour animaux sont cultivés alors que des denrées alimentaires pourraient être cultivées ? Si non, pourquoi ? Si oui, jusqu’à quand ?
  3. Quelles sont les possibilités d’éviter l’augmentation des importations d’aliments pour animaux et que fait le Conseil fédéral pour atteindre cet objectif ?
  4. Les contributions pour la production de lait et de viande basée sur les herbages (PLVH) seront-elles orientées en fonction des nouveaux indicateurs « concurrence alimentaire » et « concurrence pour les surfaces » élaborés par la HAFL et Agroscope ? Si non, pourquoi ? Si oui, jusqu’à quand ?
  5. Les orientations stratégiques dans le domaine agricole proposées dans la Stratégie Sol Suisse OsA11 (« Développer à l’intention des exploitants des bases d’évaluation et de décision sur la prévention de la perte de matière organique résultant de l’exploitation agricole ») et OsA14 (« Élaborer des directives sur l’affectation future des sols agricoles organiques, en particulier lors de renouvellements de drainages. Ce faisant, tenir compte non seulement des intérêts de l’agriculture, mais aussi de ceux de la biodiversité, du climat, des eaux et de la protection contre les crues. ») sont-elles mise en œuvre concrètement ? Quand ces lignes directrices recommandées seront-elles publiées ?