Très active sur le dossier, la conseillère nationale verte Delphine Klopfenstein Broggini s’est appuyée sur la convention internationale dite d’Espoo pour pointer l’irrégularité du tronçon. Cette convention permet à un Etat de contester une activité à l’étranger susceptible d’avoir un impact transfrontalier préjudiciable. «La Suisse l’a signifié à la France mais sans succès car Espoo n’a pas d’effet contraignant», regrette la présidente des Verts genevois, qui assure que l’administration fédérale garde le sujet «en haut de la pile». Elle poursuit: «Nous allons veiller notamment aux compensations comme la nécessité de créer des points de ralliement de type relais en transports publics et parking P +R qui manquent autour des gares françaises du Léman Express.» La Genevoise observe par ailleurs que la gouvernance du Grand Genève a une nouvelle fois affiché dans cette affaire «ses limites.»

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