Dans d’autres partis politiques, et notamment à gauche, les réactions fusent. «Interdire l’entrée en Suisse pour les personnes sans titre de séjour? Cela vide le droit d’asile de sa substance», décoche Delphine Klopfenstein Broggini, conseillère nationale verte (GE). «C’est un droit de demander l’asile, et l’UDC exige en fait de ne pas respecter la loi, ni les conventions internationales sur les réfugiés.»

Pour l’écologiste, «l’UDC attribue tous les maux au phénomène de l’asile, dont la pollution et les problèmes environnementaux, alors que c’est le parti qui est le moins actif dans le domaine du climat et s’applique même à y détruire ce que l’on construit tant bien que mal».

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