Interrogée sur ce projet, la conseillère nationale verte Delphine Klopfenstein Broggini estime qu’«il est tout à fait juste que les entreprises, y compris les PME, fassent leur part en matière de durabilité. Les investissements envisagés sont aussi un moyen d’assurer leur stabilité et leur sécurité. Les entreprises ont tout intérêt à considérer le risque climatique comme un risque financier.

» Concernant l’acceptabilité d’un tel projet, «des résultats seraient obtenus plus rapidement s’il devenait obligatoire, ce qui est nécessaire face au changement climatique», poursuit la présidente des Vert-e-s genevois-e-s, qui reconnaît également qu’imposer de telles mesures engendrerait certainement des oppositions. D’où l’intérêt de procéder par étapes et de démarrer sur une base volontaire, conclut Delphine Klopfenstein Broggini.

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