La solution retenue fait bondir Jean-François Bouvier, membre du PLR et vice-président de la Carpe, association qui milite pour un aéroport respectueux de l’environnement: «On crée des aquariums insonorisés où n’iront vivre que ceux qui n’ont pas le choix.» De fait, pour Delphine Klopfenstein-Broggini (V/GE), «les normes antibruit ne s’appliqueraient plus justement où il y a le plus de bruit.» On fait de l’aéroport une zone dérogatoire à proximité de laquelle «seuls les pauvres iront résider», complète Mathias Buschbeck, président de l’Association transfrontalière des communes riveraines de l’aéroport de Genève (ATCR), qui représente 29 communes et 80 000 habitants.

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