« Le climat général international, le fait notamment d’avoir eu coup sur coup la crise liée au Covid, puis la guerre en Ukraine, puis les attaques du Hamas et la réplique israélienne, a eu une grande répercussion sur la Suisse comme ailleurs. Ce contexte a provoqué un sentiment de peur qui attise surtout les politiques populistes d’extrême droite. Ce sont les discours les plus sécuritaires et isolationnistes qui ont le plus d’écho en temps de guerre. »

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