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Les défenseurs de cette amende, de leur côté, invoquent les coûts du littering de 200 millions de francs par année. Mais la sanction n’est que l’étape intermédiaire dans la lutte contre les déchets sauvages. Il faut prendre le problème à la source et s’attaquer aux quantités de déchets, explique Delphine Klopfenstein, conseillère nationale verte genevoise.

« Ce sont des déchets liés aux emballages, au take-away. C’est là-dessus que l’on doit travailler à terme: sur le recyclage des matières, la réutilisation et la limitation des matières à usage unique », préconise-t-elle.