Ces critiques, Pascal Broulis n’est pas le seul à les faire. À l’autre bout de l’échiquier politique, Delphine Klopfenstein Broggini (les Verts/GE) partage son impression. «Les entreprises publiques ont un devoir d’information et d’échange avec les élus. Elles doivent se rendre accessibles et disponibles pour répondre à nos questions et aux sollicitations. Si elles deviennent trop proactives, ça peut poser problème, car on risque de basculer dans un rôle de lobbying. Ce n’est pas ce qu’on attend d’elles.»

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