Comment expliquez-vous le recul des Vert·e·s?

Au niveau mondial, nous assistons à une montée des populismes. Or, ces mouvements sont à l’opposé des idées Vertes. En Suisse, on a pu observer une baisse des sièges surtout dans les cantons où nous avions le plus progressé en 2019. C’est le cas à Zurich, Berne, Vaud, Genève ou encore en Thurgovie, une énigme.

Gérer ce succès est un défi de taille, mais la baisse est relative; je rappelle que nous avons tout de même obtenu le deuxième meilleur score de notre histoire à Genève (15,4% des voix).

Lire l’intégralité de l’interview sur le site de la Tribune de Genève…