Mais, au-delà de cette polémique, en Suisse comme en France, on s’interroge désormais sur la notion de service public. Est-ce, en effet, à la télévision nationale de prendre une telle décision? «C’est aussi une démarche symbolique, qui permet de créer un précédent», lance la conseillère nationale Delphine Klopfenstein Broggini (Les Verts/GE).

Pour l’élue Verte, cette démarche est sensée. «Cela fait écho à d’autres décisions prises sur des chaînes de télévision», constate la conseillère nationale. Début décembre, France Télévisions a en effet décidé de déprogrammer les films de l’acteur.

Quant aux personnes interrogées, l’élue se demande qui prend la peine de s’exprimer dans notre sondage. C’est également le cas de Marco Ferrara, qui explique que la RTS ne tiendra pas compte des réactions du public face à cette décision, notamment sur les réseaux sociaux.

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