De leur côté, les trois vert·es, Nicolas Walder, Delphine Klopfenstein-Broggini et Isabelle Pasquier-Eichenberger, ont cherché à conjuguer santé et climat. Leur récente proposition, pour une «loi canicule», qui n’a pas encore été votée, vise à ce que lorsque le seuil canicule est atteint, des mesures automatiques soient prises comme la fermeture des écoles ou la réduction des horaires, la limitation du trafic routier et aérien ou l’aménagement des conditions de travail par secteur d’activité.

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