Le Conseil national a refusé aussi une proposition des Vert.e.s visant à se passer des centrales existantes dans un avenir proche. Delphine Klopfenstein Broggini (V/GE) s’en est faite la porte-parole: «Il faut inclure un plan de désengagement pour les centrales existantes. En France, 40% des centrales ont dû être éteintes l’année dernière en raison de problèmes techniques». Elle a rappelé que la dépendance de la Suisse à l’uranium posait problème, car une bonne partie de cette matière provient de la Russie: «Il faut tirer la prise du nucléaire avec un calendrier précis. Les installations existantes doivent être mises hors service au plus tard: Beznau I et II en 2027, Gösgen en 2032, Leibstadt en 2037». Sa proposition a été rejetée par 126 voix contre 65.

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