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«Dire cela est un peu malvenu», regrette Delphine Klopfenstein, conseillère nationale écologiste. Celle qui participe à l’organisation du dialogue estime que ceux qui pensent avoir suffisamment de connaissances manquent d’humilité. «Ils devraient reconnaître qu’on ne peut pas tout savoir. Cet aprèsmidi de dialogue, c’est une belle opportunité pour ceux qui font les lois dans ce pays», réagit-elle. «Qui peut prétendre tout savoir de cette question?» Delphine Klopfenstein. La Genevoise compte construire, sur la base du 2 mai, des conférences thématiques. «Par exemple, nous devrions parler de la Banque nationale suisse et de son désinvestissement des énergies fossiles. Qui peut dire qu’il sait tout de cette question?» s’interroge-t-elle.