La conseillère nationale verte genevoise Delphine Klopfenstein Broggini juge que cette décision est une aberration: « C’est une décision qui va contre la volonté du Parlement qui a voté la loi CO2. […] Le Conseil fédéral rabote des comptes qui au contraire devraient être soutenus. Si on veut atteindre des objectifs de réduction des émissions de CO2, il faut trouver des alternatives à la mobilité aérienne », souligne la conseillère nationale. « Naturellement, les trains de nuit, c’est une voie à suivre. Aujourd’hui, on est en retard sur le sujet. Et maintenant, on prend encore plus de retard. C’est absolument incompréhensible. »

Lire l’intégralité de l’article sur le site de la RTS…