Ce manque de transparence a aussi pu influencer les décisions du parlement, ajoute Delphine Klopfenstein Broggini (Les Verts/GE). «Si les élus avaient eu connaissance de ces plaintes, tout le débat autour de la problématique de la récolte de signatures rémunérées aurait été différent. L’an dernier, on nous a laissés traiter une initiative parlementaire qui demandait une interdiction de cette pratique, sans nous donner cette information essentielle. C’est totalement inacceptable.»

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