À gauche, cette tentative de faire revenir le nucléaire par la fenêtre – alors que le peuple l’a mis à la porte en 2017, en acceptant la stratégie énergétique – passe encore plus mal. «Cet amendement n’a l’air de rien, mais il est grave, lâche Delphine Klopfenstein Broggini (Les Verts/GE). On passerait d’une logique de sortie du nucléaire à une logique de prolongement des centrales. Cette proposition est dangereuse, car elle coûterait très cher. Nous avons le parc nucléaire le plus vieux au monde. Or, tout l’argent que l’on investira là manquera pour les renouvelables qui sont l’énergie du futur.»

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