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Suite à une interpellation de la conseillère nationale Verte genevoise Delphine Klopfenstein Broggini, l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) a indiqué au début de février qu’il allait intervenir auprès de l’État français afin de faire valoir le droit des autorités suisses à être consultées. Cela en vertu de la Convention d’Espoo sur les impacts environnementaux dans les zones frontalières. Le Conseil d’État genevois a déjà invoqué le même texte auprès de la préfète du département de l’Ain, Catherine Sarlandie de la Robertie. Il souhaitait être consulté à propos du projet et avoir accès à l’étude d’impact.