«Ce qui me choque le plus, c’est le fait qu’un·e médecin puisse administrer un médicament non pas pour prendre soin d’une personne, mais pour assurer la bonne marche d’une expulsion», réagit la conseillère nationale verte Delphine Klopfenstein Broggini. Elle dénonce une logique visant à se débarrasser au plus vite des requérant·es d’asile. «Cela aura aussi un effet menaçant pour toutes les personnes en passe d’être renvoyées. Le message qu’on leur transmet, c’est que si elles ne partent pas volontairement, on les endormira», alerte-t-elle.

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